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 Angélique KIDJO

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Rom
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Rom


Nombre de messages : 674
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Date d'inscription : 09/07/2007

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MessageSujet: Angélique KIDJO   Angélique KIDJO EmptyDim 25 Nov - 15:45

Puisque Rom aime les voix "cassées" et qu'elle l'a écoutée dans Africa Fantasy avec le Trilok Gurtu elle vous présente Angélique Kidjo

Angélique KIDJO Artist1



Angélique nait le 14 juillet 1960 à Ouidah, petite ville portuaire de la République du Bénin qui, jusqu'en 1975, se nommait le Dahomey. Issue de l'ethnie Pedah, Angélique est baptisée à sa naissance Angélique Kpasseloko Hinto Hounsinou Kango Manta Zogbin (le sang d'une lanterne ne peut allumer une flamèche).
Angélique Kidjo naît le 14 juillet 1960 à Ouidah, port du Bénin, et grandit dans un milieu culturel apte à encourager ses dons : une mère chorégraphe et directrice de théâtre, un père s’adonnant à la photographie et au banjo à ses moments perdus, huit frères et sœurs sensibles aux arts. A six ans, elle fait déjà partie de la Troupe nationale du Bénin, avant de s’intégrer au groupe de ses frères, le Kidjo Brothers Band, et à celui de son lycée, les Sphinx. En 1983, suite à la sortie de son premier disque Pretty, produit grâce au chanteur camerounais Ekambi Brillant, elle se fait notablement remarquer lors d’une tournée en Afrique de l’Ouest. Elle part ensuite pour Paris, où elle fréquente, entre autres, les Ateliers-Chansons de Paris et ceux du C.I.M, et rejoint Pili-Pili, la formation jazzy du néerlandais Jasper Vant’Hof, avec lequel elle enregistre plusieurs albums. En 1988, elle décide de monter son propre groupe avec le bassiste Jean Hébrail, qui va devenir son mari. Un album qu’elle a conçu elle-même, Parakou (nom d’une ville du Bénin), attire l’attention de Chris Blackwell, patron du célèbre label Island, qui abrita jadis Bob Marley. Pour l’album Logozo (la tortue), elle réunit Brandford Marsalis, Manu Dibango et Ray Lema. S’ensuivent différents concerts en Europe, en Australie et aux Etats-Unis, qui lui confèrent une notoriété internationale. Dans la même ligne afro-funk, elle réalise Ayé (la vie, 1994), Fifa (la paix, 1995) et Oremi (mon ami, 1998), autant d’albums où l’on retrouve le côté “tout feu tout flamme” de cette femme du pays vaudou, qui ne cesse de dénoncer l’Afrique de l’indifférence et des privilèges — rien d’étonnant à ce que Myriam Makéba en ait fait son héritière spirituelle. En 1998, Angélique Kidjo s’installe à New York.



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